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 |  Sujet: Andréa Baxter  Ven 2 Mai - 19:57 | |
| |CIVIL STATUS| > Nom(s) et Prénoms: Andréa « Andy » Baxter.
> Nom de code: ...
> Age: 23 ans
> Camp: X men
> Personnage inventé ou des adaptations:Inventé
|YOUR CHARACTER| > Caractère: Au premier abord, Andréa semble complètement dans son monde. Calme, vraiment très calme, rien ne semble pouvoir la déstabiliser, rien ne semble pouvoir la toucher, comme si tout ce qu'il se passait dans son environnement glissait littéralement sur elle. Cependant, elle n'est pas non plus totalement insensible. Au contraire, elle est très émotive, beaucoup de choses pouvant la troubler profondément. Que ce soit une image, un objet, de la musique ou quelque chose de bien plus grave. Si elle ne réagit pas, c'est qu'elle ne sait pas comment faire. Elle se contentera de se tortiller un peu plus les mains et ses yeux chercheront désespérément quelque chose auquel se raccrocher.
Cependant et même si certain en douteront, Andréa est bien là. Elle entend, voit, écoute tout. Sa capacité d'attention et d'analyse est assez impressionnante. Elle est toujours sur le qui vive, prête à réagir, à fuir, comme un animal sauvage. Si elle ne répond pas à quelqu'un, à un appel, c'est qu'elle n'en a tout simplement pas envie. Sa grande discrétion et son apparente tête en l'air laisse croire qu'elle est totalement à l'ouest !
Elle ne regarde jamais les gens directement, son regard s'attachant à tous objets sauf aux humains. Et ce n'est pas faute de vouloir essayer. Elle semble toujours tenter de tisser un lien avec son environnement. Elle s'efforce d'être la plus avenante possible et la plus agréable, même si ce côté évaporée peu laisser un peu perplexe, elle aime sincèrement la compagnie. Elle en a même besoin. La solitude lui faisant terriblement peur. Il ne lui faut pas grand chose, juste une présence pour se sentir apaiser. Lorsqu'elle s'engage auprès de quelqu'un, elle ira jusqu'au bout, son dévouement pouvant viré au fanatisme.
Seulement sa maladresse et son côté craintif l'empêche de tisser autant de liens qu'elle le voudrait. Elle ne supporte pas qu'on la touche ou que l'on est un mouvement brusque envers elle. Son seul réflexe sera de se replier un peu plus sur elle même et d'attendre que cela se passe. Elle cherche le contacte, mais paradoxalement, elle met tout le temps une distance entre elle et les autres. Sa franchise est également une de ses caractéristiques et elle s'applique a toutes ses pensées. Elle est très réservée, mais il est étonnant de remarquer qu'elle peut dire les choses les plus dérangeantes sans vraiment de honte. Lorsque quelque chose ou quelqu'un ne lui plait pas, elle le dit, sans détour, sa franchise n'ayant pas réellement de limites. Mais sa façon de l'exposer, avec son habituel flegme et une certaine fraicheur fait mieux passer la chose. Elle n'a pas réellement d'inhibition, capable de se balader en petite tenue n'importe où, ou d'utiliser son pouvoir en public comme si cela était tout à fait normale. Comme si elle ne se rendait pas compte de ses actions. Il y a un peu de ça, mais c'est aussi parce que ça l'amuse.
C'est une jeune femme qui doute constamment d'elle même et qui angoisse à peu près pour tout. Mis à part pour une chose. La danse et le dessin. Ses deux grandes passions. Andréa est une artiste et a totalement confiance en ses talents qui sont bien réels. D'ailleurs, il n'est pas rare de la voir gribouiller, sur un petit calepin, tout corné qu'elle emmène partout ou esquisser des petits pas de danse par ci par là. C'est presque un réflexe chez elle, accentuant un peu plus son côté tête en l'air. C'est la seule chose pour laquelle elle peut se montrer en public sans gêne.
> Apparence: Mesurant un peu moins d'un mètre soixante dix, elle ne pèse qu'un petit 55 kilogrammes. Sa fine silhouette élancée et frêle peut donner l'impression qu'elle est en perpétuelle état maladif. Ce qui est faux. C'est seulement son gabarit naturel. Sa musculature est pourtant bien là, une musculature fine de danseuse, soulignant un peu plus ses formes.
Son visage ovale, arbore la plupart du temps une expression sereine, tirant un peu vers la mélancolie. Sa peau pâle, ses traits fins, contribuent à accentuer cette douce chaleur qu'elle dégage naturellement. Ses grands yeux bleus pâles trahissent sa curiosité pour le monde qui l'entoure bien que caché par son comportement. Les rares fois qu'ils se posent sur quelqu'un ils donnent l'impression qu'ils sondent la personne jusqu'au plus profond d'elle. Ses lèvres fines s'étirent généralement en un sourire hésitant, mais qui est toujours bien là.
Ses cheveux blonds sont de nature ondulé. Elle ne les coiffe pas souvent, les laissant retomber librement sur ses épaules ou les attachant négligemment.
Ses tenues vestimentaires sont assez éclectiques. Portant de larges pull un peu trop grand pour elle, des chemisiers ou simple teeshirt accompagné de l'éternel et indétrônable jean. Jupes et robes sont aussi d'actualités, plein de superpositions alourdissant les divers tissus. Toutes les couleurs peuvent y passer, optant cependant pour des tons pastels. Son accessoire favoris est le chapeau ou le bonnet qu'elle accommode a toutes les sauces, ainsi que les colliers tous plus long les uns que les autres et les divers bracelets, qu'elle adore entendre faire « clik clik » lorsqu'elle bouge les bras. Andréa préfère de loin la commodité, mais la touche d'élégance vient d'elle même, de sa façon d'être, de se tenir, dans ses gestes fluides et précis.
> Pouvoirs: Andréa est capable de se téléporter n'importe où, du moment qu'elle connait l'endroit soit pour y être elle même aller, soit pour l'avoir vu en photo et seulement une photo nette, pas de dessins, de peintures ou autres arts graphiques. Elle peut emmener des objets et des personnes avec elle. Sa téléportation se borne à environs 300 kilomètres. Il est évident que plus elle souhaite se téléporter loin, plus elle aura besoin d'énergie et donc plus elle sera fatiguée à l'arrivée. Sa précision sera diminuée et le nombre de personnes ou d'objets sera également réduis (Si elle choisit de se téléporter à 300 kilomètres de son point d'encrage, elle pourra éventuellement se téléporter avec un petit objet, mais pas plus.)
Son pouvoir ne s'applique pas forcément a elle même puisqu'elle est capable de téléporter des objets ou des personnes d'un endroit à un autre sans elle même bouger. Si sa connaissance de l'objet en question est suffisante elle pourra le "décomposer" en parties et téléporter ses objets (par exemple, un crayon est dans une boite fermée, si elle sait qu'il y a un crayon dans la boite, elle pourra le téléporter.) Ce pouvoir se limite toujours à 300 km, plus l'objet sera imposant, plus la distance de téléportation sera courte et plus cela lui demandera de l'énergie.
> Avatar choisi Sienna Miller
|HIS/HER LIFE|
> Histoire:Andréa est née à Cleveland l'une des villes principale de l'Ohio. Sa famille est tout simplement riche, c'est indéniable, du moins du côté paternel. Longue lignée de médecins, spécialisés cependant dans divers domaines. Son père, Robin, a choisi la chirurgie esthétique. Il possède une clinique en plein centre ville qui tourne très bien depuis sept ans, embauchant les meilleurs chirurgiens du pays et ayant des clients plein aux as.
Quant à sa mère, Julia, elle sort d'une famille beaucoup plus modeste. Fille du shérif d'un petit patelin au fin fond de la Pennsylvanie, rien ne la destinait à se retrouver dans les hautes sphères. Et pourtant, elle rencontra son mari au début de ses études à l'université et ils ne se séparèrent plus jusqu'au mariage. Deux ans plus tard, Andréa voyait le jour.
Que de bonheur ! Une parfaite petite famille. Mère au foyer qui s'occupait consciencieusement de sa petite et adorable fille. Père bosseur qui ferait tout pour rendre heureux les deux seuls amours de sa vie. Tableaux idyllique, toute fois en apparence. La réalité était bien plus amère que ça.
Julia, qui avait été grisé par tout cet argent, par tout ce luxe et cette classe pendant quelques années n'en pouvait plus. Après avoir côtoyé les "peoples" elle se rendit bien vite compte que tout n'était que factice. Rien n'était sur, stable, franc. Elle qui avait été élevée dans un milieu qui prônait, peut être un peu trop, les valeurs Américaines, elle retombait bien bas, étrange paradoxe... Et elle ne pouvait compter sur son propre mari. Du matin au soir, il était fourré dans son boulot. A l'époque, il travaillait encore à l'hôpital, mais il avait déjà son projet d'ouvrir sa propre clinique et planchait beaucoup dessus. Autant dire que ce projet fou lui prenait tout le temps libre qu'il lui restait. Et pour réussir, il devait se faire connaitre, il devait se faire des relations. Et il n'hésitait pas à utiliser sa propre femme pour le faire.
Quant à Andréa, trop petite pour s'apercevoir tout ce qu'il se passait et ses parents s'efforçant pour ne pas la mêler à ces histoires, profitait de tout ce que pouvait lui offrir cette vie de luxe. Bonne élève à l'école, elle avait beaucoup d'activité extrascolaire, statue sociale exige. Déjà, elle se démarquait dans les activités artistiques. Fille d'un scientifique pur et dur, ses qualités de danseuses et de dessinatrice ne fit pas la fierté de son père qui la voyait déjà suivant ses pas. Mais il ne s'en faisait pas trop. Andréa était encore petite.
L'état de Julia ne faisait cependant qu'empirer. Voyant de moins en moins son mari, étouffant dans le luxe, elle tomba dans la drogue qui lui était facile d'accès et trompa plusieurs fois Robin. Rongée par le remords, par la drogue, par la pression que lui mettait ce milieu si particulier, elle finit par se suicider. Andréa avait treize ans.
Le Clash entre le père d'Andréa et sa fille se fit le lendemain de l'enterrement de la défunte. Comme si ce terrible évènement avait ouvert les yeux de la toute jeune fille, elle rejeta la mort de sa mère sur son père, sur tous ces "people" qu'elle avait a présent en horreur, sur ces dissimulations, ces mensonges, cette obligation d'être infaillible, parfait, tout le temps, partout, avec tout le monde. La guerre froide était ouverte à la maison.
Son père qui l'avait jusqu'ici pousser sensiblement vers le monde scientifique, lui fit à présent bien comprendre qu'il était temps qu'elle s'y intéresse sérieusement. Andréa, elle, se réfugiait dans ses dessins et la danse qu'elle pratiquait lorsqu'elle en avait l'occasion avec un professeur qui lui donnait gratuitement des cours. Il avait vu plusieurs fois la jeune fille devant les vitres de la salle, les yeux grands ouverts. Ayant appris le décès de sa mère, il la prit par compassion. Il ne lui faisait aucun cadeaux, mais au moins Andréa aimait ce qu'elle faisait et elle se sentais douée.
Et il fallait qu'elle reprenne confiance un peu en elle car son pouvoir commençait à se manifester. Sa première téléportation se fit alors qu'elle était dans sa chambre à écouter d'une oreille inattentive les cris de son père lui disant que la médecine s'était l'avenir, que si elle voulait bien réussir dans sa vie, il fallait qu'elle suive ses pas et blablabla... Les pensées d'Andréa se tournèrent alors vers sa mère et la seconde d'après, elle se retrouvait sur sa tombe. Elle comprit très vite que ce pouvoir était une échappatoire et tenta tant bien que mal de le maîtriser.
Le jour de l'entrée à l'université arriva. Elle ne s'inscrit pas, comme le souhaitait son père dans une faculté de médecine, mais choisit un conservatoire de danse et prit en parallèle des cours de dessins. En apprenant ça, son père se contenta de hausser les épaules et de lui jeter un regard méprisant. Bien qu'en apparence, Andréa ne semblait pas touché par ce comportement, elle en était en réalité très affectée. Et cela l'énervait beaucoup. Cet homme qu'elle détestait, qui lui avait mené la vie dure, comment pouvait elle encore prendre en compte son avis ? C'était tout simplement son père, le seul parent qui lui restait. Et de cela, Andréa en prit conscience peu à peu. Et peu à peu, elle tenta de renouer des liens avec lui. Elle choisit tout d'abord de rester habiter avec son père et s'efforça d'avoir des petites attentions pour lui. Mais leur caractère si différent était loin de les aider.
A la même époque, la révélation de l'existence des mutants se fit au grand jour. Voyait son père neutre par rapport à ce conflit qui prenait de plus en plus d'ampleur, Andréa lui avoua faire partie de ces mutants. Son père n'eut qu'un regard intrigué pour sa fille. Seulement, quelque mois plus tard, elle trouva dans sa chambre, poser sur son bureau le sérum accompagné d'un petit mot de son père l'incitant à le prendre. Il lui expliquait qu'ils ne pouvaient se permettre de vivre avec une telle malédiction, que ça ne leur apporteraient que des ennuies surtout avec la position sociale qu'il occupait et toutes les pressions que cela entrainaient.
En lisant ce mot, Andréa comprit qu'elle n'arriverait jamais à tisser un quelconque lien avec son père. Il ne l'accepterait jamais comme elle malgré ses efforts. Oui, elle aurait peut être plus de mal à se faire une place dans la société, mais il était hors de question de faire disparaître ce pouvoir. Le soir même, elle était en route pour l'institut Charles Xavier.
Cela fait à présent quelques mois qu'elle est à l'institut. Elle a du mal à se faire à cette nouvelle vie, mais fait des efforts pour se montrer aussi sociable qu'elle peut.
> Relations: Elle n'a plus de nouvelles de son père depuis qu'elle l'a quitté, il y a quelques mois. Elle ne s'en porte pas plus mal.
Elle n'a pas tissé d'amitiés malgré le monde qui gravite dans l'institut. Même si peu de personnes la connaissent, Andréa, elle, a déjà repéré un bon nombre de personnes.
|BEHIND THE SCREEN|
> Age: 19 ans
> Comment avez-vous connu le forum? Pub
> Multicompte ? Nan !
> Code de la charte: Code bon. Docteur Grey.
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